La grasse matinée fait du bien (7h30, 8h) et nous l’occupons dans la rivière à laver le linge et nous rafraichir.

L’après midi nous sommes divisés en groupes avec au programme : travail à la pépinière (attention on plante d’est en ouest sinon il faut tout recommencer), remise aux normes des toilettes publiques (aménagement d’une baie vitrée en bambou, vue sur le Makay), entretien d’une piste d’atterrissage pour avion (pour les flemmards qui n’oseront pas affronter la journée de marche), construction d’étagères par notre équipe féminine de bricolage et atelier boulangerie. Après avoir réussi son premier pain dse manière magistrale, Thibault a pris de l’assurance et s’est relâché, réussissant cette fois non pas à faire cuire le pain mais à faire fondre une de nos marmites. Cette petite erreur obligera Evrard à envoyer deux locaux faire les 90 kilomètres de marche aller-retour vers Beroroha pour aller chercher une nouvelle marmite. Mais ça tombe bien, trois nouvelles têtes sont censées arrivées à Beroroha dans les prochains jours, les deux gars leur serviront donc de guide pour nous retrouver dans le Makay.

Tout le monde rentre sur place au coucher du soleil profiter d’un bon plat de…je vous laisse deviner (avec du porc et des légumes s’il vous plaît). La tasse de thé à la main, nous écoutons Evrard et Mamy débriefer des journées passées et surtout du programme qui suit et que nous attendons tous : l’exploration du Makay.
C’est sur ces dernières lignes que nous allons rejoindre nos sacs de couchage et rêver du Makay (SI MON VOISIN ARRETE DE RONFLER) ! ;)