Voilà un moment très redouté mais aussi très attendu. C’est une phase où l’on se voit enfin dans l’action après des mois de préparations mais c’est aussi une phase durant laquelle on ne touche plus terre et où la somme de choses à régler dépasse de plus en plus largement le nombre d’heures qui nous séparent de la deadline.
Il y a comme une sorte d’élévation qui fait que l’on ne fatigue jamais mais on sent bien aussi que ça ne peut pas durer éternellement.
Ici à Tana, nous prions pour que ça ne dure pas parce que la chaleur nous accable et parce qu’avec elle, les gaz d’échappement des moteurs mal réglés sont tout à fait insupportables.
Igor et Mathieu sillonnent la ville à la recherche de bricoles qui nous aideront à mieux nous organiser, notamment au niveau des vivres, ce qui n’est pas une mince affaire lorsqu’il s’agit de gérer 20 personnes et autant de porteurs.
Pendant ce temps, je sillonne moi aussi les rues de la ville mais en taxi cette fois pour sauter de rendez-vous en rendez-vous. Je passe d’institutions de recherche en ministères afin d’obtenir tous les feux verts au lancement de notre mission de recherche. Je réalise que tout le travail de prise de contact par email de ces derniers mois n’a pas eu grand intérêt parce que les chercheurs d’ici n’ont pas un accès facile à internet et donc ne communiquent tout simplement pas par ce biais. Depuis que je suis là, j’ai donc repris tout cela à zéro et je rappelle et rencontre tous les acteurs de la recherche et de la conservation de la nature. C’est extrêmement intéressant même si j’ai toujours un peu l’impression d’avoir un train de retard. L’expédition partant dans moins d’une semaine, vous imaginez bien que ce n’est pas facile de mobiliser des spécialistes. C’est un peu frustrant et plus les jours passent, moins j’ai de chance de réussir à compléter notre équipe.
Ceci dit, je crois que nous avons déjà de quoi faire.
Voilà un moment redouté mais aussi très attendu. C’est une phase où l’on se voit enfin dans l’action après des mois de préparations mais c’est aussi une phase durant laquelle on ne touche plus terre et où la somme de choses à régler dépasse de plus en plus largement le nombre d’heures qui nous séparent de la deadline.
Il y a comme une sorte d’élévation qui fait que l’on ne fatigue jamais mais on sent bien aussi que ça ne peut pas durer éternellement.
Ici à Tana, nous prions pour que ça ne dure pas parce que la chaleur nous accable et parce qu’avec elle, les gaz d’échappement des moteurs mal réglés sont tout à fait insupportables.
Igor et Mathieu sillonnent la ville à la recherche de bricoles qui nous aideront à mieux nous organiser, notamment au niveau des vivres, ce qui n’est pas une mince affaire lorsqu’il s’agit de gérer 20 personnes et autant de porteurs.
Pendant ce temps, je sillonne moi aussi les rues de la ville mais en taxi cette fois pour sauter de rendez-vous en rendez-vous. Je passe d’institutions de recherche en ministères afin d’obtenir tous les feux verts au lancement de notre mission de recherche. Je réalise que tout le travail de prise de contact par email de ces derniers mois n’a pas eu grand intérêt parce que les chercheurs d’ici n’ont pas un accès facile à internet et donc ne communiquent tout simplement pas par ce biais. Depuis que je suis là, j’ai donc repris tout cela à zéro et je rappelle et rencontre tous les acteurs de la recherche et de la conservation de la nature. C’est extrêmement intéressant bien que j’ai toujours un peu l’impression d’avoir un train de retard. L’expédition partant dans moins d’une semaine, vous imaginez bien que ce n’est pas facile de mobiliser des spécialistes. C’est un peu frustrant et plus les jours passent, moins j’ai de chance de réussir à compléter notre équipe.
Ceci dit, je crois que nous avons déjà de quoi faire.